Charles Bloch :

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Des tournées en Europe, en Turquie, en Israël bien sûr, et puis en 2008, le premier album Lamentation Walloo. Un coup de Terrorism of Love où, taraboosh vissé sur la tête, Gabri en improbable Charlot du Bled raconte Dalida, son amour perdu qu'il cherchera jusque dans les ruelles d'Ankara et puis le puissant titre éponyme, témoignage d'une âme qui a vu les temps (la) changer dans un Jérusalem, de chaque côté du mur où chacun chouine... pour walloo. Le titre sera dans la BO du délirant et césarisé "Cochon de Gaza" (les Boogie se chargeront d'ailleurs aussi de tout le reste du soundtrack oriental).

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Puis un deuxième album, en 2014, Idiot Bravo. Concept total autour d'une improbable guerre des sexes ! La langue explose. Les Fatmazones, le Zarmageddon le Kasbanova et John Way'n the Bedouïn' ... et le son se fait mystique, profond et progressif, moins rugueux mais ô combien plus vaporeux. 
Des ondes à provoquer des vagues. Qu'elles soient psychés sur les rivages de Yaffo la Folle ou complètement Stoner et 70’s, elles ramènent sans cesse à la fin d'un jour, après un voyage hystérique, insensé, surréaliste et nostalgique mais plein d'espoir vers un "Çöpçüler" (le balayeur de l’amour) qui reste en tête des mois après.

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Falaf’Hell Power, le nouvel album à paraître en octobre, offrira très bientôt cette vision très vivante d'un hommage à la génération "FLOWER POWER" !

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Ils n'ont de cesse de faire tomber, pierre par pierre, les Jérichos dans lesquelles sont enfermées les mentalités. Avec leurs cailloux, ils reconstruisent la Tour de Babel. Mais cette fois, avec la seule prétention d'atteindre cette Peace. Avec Love ou pas, mais Peace par-dessus de tout.